Restauration scolaire responsable, locale et bio: les Villes de Lorient et de Lons-Le-Saunier témoignent !

De nos jours, les cantines scolaires sont les plus nombreuses à acheter du bio (avec 79% des établissements concernés). Alors, comment aller plus loin et généraliser ce mode d'approvisionnement plus respectueux de la nature, de la santé des consommateurs et du travail des producteurs ?

Malgré l’absence d’obligation légale, et à l'heure où les consommateurs français souhaitent avoir de plus en plus d'informations sur l'origine et le mode de production des aliments, un certain nombre de collectivités se lancent volontairement dans l'introduction de produits locaux, bio dans la restauration scolaire comme en témoigneront les Villes de Lorient et de Lons-Le-Saunier.

Lors de cette webconférence, vous découvrirez dans un premier temps l'expérience de la Ville de Lorient, pionnière en matière de restauration collective responsable, locale et bio:

De la volaille élevée à 120 jours de Languidic, des kiwis bio de Caudan, des biscuits « La Lorientaise » de Kervignac, du porc « Ty Producteurs » Bleu Blanc Cœur, du boeuf bio du Faouet…la cuisine centrale municipale de Lorient, a fait le choix de privilégier le bio, le bio local, les SIQO et les circuits courts qui représentent désormais plus de 50% de l’approvisionnement en restauration scolaire. Entre volontarisme, lutte contre le gaspillage alimentaire et acheter « autrement », il a fallu 20 ans, soit une génération, pour mettre en place progressivement cette politique d’achat atypique.

Et ensuite, découvrez celle de la Ville de Lons-Le-Saunier, pionnière en matière de restauration collective responsable, locale et bio

Pour protéger sa ressource en eau, la ville de Lons le saunier a cherché des solutions différentes pour agir. Ainsi, depuis 2000, la constitution de filières agricoles permettant d'intégrer des produits bio protégeant la ressource en eau sont utilisées en restauration collective. Pain, farine, bœuf, fromage, légumes ... sont entrés dans la composition des plats produit par la cuisine centrale pour atteindre 25 de produits bio locaux et 10 % de produits locaux. la construction d'une légumerie en 2015 pour permettre à une filière de construire. Aujourd'hui, c 'est plus de 300ha sur le département que la consommation de produits par cuisine permet de protéger.