Quels outils et réflexions pour orienter un choix de mode de collecte entre points d'apports volontaires et porte-à-porte ?

Collecte en points d'apports volontaires (PAV) ou en porte-à-porte, les choix divergent.

Cette même loi fixe un objectif de de généralisation de la tarification incitative. En 2025, 25 millions de Français devraient être concernés (aujourd'hui, plus de 190 collectivités regroupant 4,5 millions d'habitants ont mis en place une tarification incitative). Dans quelle mesure cette perspective influence-t-elle ses modes de collecte actuels ou à venir ?

Faut-il amplifier les PAV sur son territoire ou repenser les modes de collectes autrement ?

A quoi la pertinence du choix est-elle dûe ?

Le type de PAV (avec sondes de télérelève, enterrés ou aériens, pour les recyclables uniquement ou également les OMR,...) entre-t-il en compte dans la réflexion du choix entre PAV ou porte-à-porte ?

Quels impacts doit-on appréhender en matière de personnel de collecte, de salubrité et de qualité du tri ?

Dans le choix du PAV :

- Quelle place donne-t-on aux "deconsigneurs", ces machines qui permettent aux usagers d'apporter leurs emballages contre rétributions ?

- Comment facilite-t-on l'intégration urbaine de ces PAV ?

- L'Open Data est-elle un critère à prendre en compte dans le choix d'implantation de PAV pour mieux gérer ces équipements (proximité, disponibilité, remplissage) et éviter les dépôts sauvages ?

Après avoir pris connaissance :

- des résultats de l'étude comparative financière de Tour Métropole Val de Loire entre ces deux modes de collecte, porte-à-porte et PAV,

- du bilan de l'étude du Cercle National du Recyclage (CNR) comparant porte-à-porte et PAV pour la collecte du verre,

nous vous proposons de participer au débat qui réunit Alexandre Travers (Tour Métropole Val de Loire?), Romain Lebegue (Citeo), et Bertrand Bohain (CNR).